Chants de la Renaissance italienne et perso-ottomane s’entremêlent dans un manuscrit du début du XVIIe siècle où l’auteur s’amuse à passer d’une langue à l’autre et d’une musique à l’autre. Avec Marco Beasley, Constantinople revisite la musique de l’époque et recrée ce pont entre cultures d’Europe et d’Orient.